J’en ai bien entendu profité pour citer un ou deux « champions hexagonaux » mais aussi quelques collègues nés dans d’autres contrées. Précisons encore une fois que bien que j’ai signé deux livres sur les super-héros français et les resituer dans une certaine généalogie, mon idée n’a jamais été de les installer comme seule alternative aux américains. Disons que les super-héros français existent depuis longtemps et qu’ils n’ont pas, globalement (et sauf parodie) de raison d’être réduits au rang de « pastiche » des américains. C’est pourquoi il est toujours intéressant de citer le japonais Ogon-Bat ou la philippine Darna. L’article, paru ce jour, est aussi consultable en ligne, sur le site du Parisien en cliquant ICI (et sinon la bande annonce de « Comment je suis devenu super-héros » est ci-dessous)